Dans le début des années 1990,
Oksana a quasiment elle-même élevée le niveau de difficulté de la gymnastique
rythmique vers une incroyable grandeur.
Une
exécutante passionnée avec une personnalité encore plus emportée, la vie de
Skaldina et la gymnastique sont sûrement la définition du mot
risque.
Née d'un ingénieur
et d'une inspectrice de jardin d'enfant le 24 mai 1972 à Zaroporozhye en
Ukraine, Oksana fut introduit dans la GRS à l'age de 4 ans et demi dans le
club de la ville ou elle fut entraînée par Liudmilla
Koval.
Pourtant à l'origine elle n'était pas
considérée comme une gymnaste de rythmique, à cause "de qualité physique
moyenne"
Mais elle concouru à l'age de 6 ans, et
fut destinée au succès, mais aussi à une grande part de
déception.
Plus tard elle
entra dans Centre National d'Entraînement de gymnastique rythmique et fut
entraînée par les Deruiquina.
Albina et Irina
Deruiquina avaient souligné en elle une grande persévérance, une sûreté et une
technique unique pour l'époque dans chacun de ses enchaînements. Soigné,
forte, claire, distinct : c'est ce qui caractérisé la merveilleuse gymnaste
Ukrainienne.
Oksana se révéla à
la Coupe d'Europe 1988 où elle se plaça 5eme au général et remporta l'or au
ballon.
Au championnat du
monde de 1989 elle voulu partager entre soviétique la médaille d'argent de la
final, et elle réclama aussi le bronze au générale et l'or à la corde, au
cerceau et au ruban.
Après une saison à succès en
1990, où elle remporta les titres à la coupe Intervis, au Goodwill Game,
au championnat national soviétique et à la coupe du monde, sans oublier sa domination
du Championnat d'Europe de Goteborg en Suéde, où elle finit première aux final
général, par engins et par équipe, son entraîneur Albina Deruiquina
déclara "son temps est venu".
Au Goodwill Game
de 1990, elle survola la compétition avec une sensation de vivacité parfaite
et précision. Elle charma la foule, cet événement est l'une des plus belle
compétition de sa carrière, elle rivalisa avec la Bulgare Mila Marinova et
avec ses coéquipières soviétique Oksana Kostina et Alexandra
Timoshenko.
Skaldina et
Timoshenko remportèrent la plupart des titres de 1991, mais comme tout le
monde le disaient et qui se réalisa finalement, ce fut Oksana qui se retrouva
en haut du podium : avec une grande passion et de grande difficultés dans ses
exercice, elle remporta le titre au général de championne du monde en
1991.
Mais elle se retrouva quand même frustrée
lors de la final par engins quand Timoshenko chercha sa
revanche.
Exténuée, Oksana pensa à se
retirée après sa victoire, mais finalement elle décida de rester, car la
gymnastique était la seul vie qu'elle connaissait.
Elle Persévéra,
continua d'élever les risques a mesure qu'elle mûrissait comme une
artiste.
Oksana connaissait ses points forts
: une forte technique de danse, une superbe agilité pour réaliser de difficile
manipulation aux engins et une personnalité tape-à-l'il, et elle se servait
de tout ça pour remplir ses enchaînement.
Son travail
demandé ainsi de haut score, car elle commettait rarement des
fautes.
On disait qu'elle ne regardait ses notes
seulement après avoir entendu la réaction de la foule.
Elle réalisa
plusieurs enchaînements mémorables, dont les plus notables sont son rapide et
courageux ruban de 1989, son énergique et passionnant cerceau de 1991 sur "In
the Hall of the Mountain King", achevé avec un lancé de pied unique et sont
très émouvant ballon de 1992.
Mais de nombreux
fans se souviennent de son visage de plus en plus expressif.
Quelques
événements finirent, début 1992, par heurter la réputation de Oksana, et
l'Equipe Unifié commença à la questionner publiquement sur ses
aptitudes.
Après la victoire
de Kostina au championnat national et au championnat d'Europe, de nombreuse
spéculation disaient qu'elle allait remplacer Skaldina aux
Olympiques.
Mais pourtant
Oksana et Alexandra obtinrent de très beau résultat au championnat d'Europe
1992 à Stuttgart : Skaldina gagna 3 médailles d'or en final par engin après le
général ou elle fit quelques erreur et termina 5eme.
Skaldina vu un
jour une émission de télévision où elle fut vivement critiquée. Dévastée, elle
tenta d'abandonner le Centre National d'Entraînement.
En fin de compte, son entraîneur Irina Deruiquina la persuada de
revenir, mais d'après Skaldina, la fédération fut contrariée qu'elle voulut
partir et lui confisqua son argent et ses affaires personnel et avait
surveillé ses déplacements.
Quelques temps plus tard, ce
fut la controverse sur les membres pour l'équipe Olympique. Les pays d'ex-URSS
allèrent au JO avec une équipe unifié, et Skaldina et Timoshenko furent
sélectionné.
Lors des JO de
Barcelone, et en dépit d'une solide performance (elle compta quelques petites
fautes), et son haut niveaux de difficulté, Skaldina fut récompensée du
Bronze, derrière sa coéquipière Timoshenko et la star local
Pascual.
Les résultats de cet compétition sont
toujours violement contredit, et Oksana, en refusant de reconnaître les
résultats et en secouant la main la main de Pascual sur le podium, devint
tristement célèbre comme l'infâme et déloyal combattante de la
compétition.
Pourtant, à ce moment là, il fut très
difficile à Oksana de ne pas pleurer. Elle explique bien plus tard dans une
interview que "gagner le bronze à la place de l'or sembla comme une
catastrophe pour moi, l'effondrement de tout mes espoirs et
projet".
Elle fut tellement
brisée qu'elle ne réussie pas à reprendre l'entraînement, elle se sentie au
bord de la dépression nerveuse et pensa au suicide.
Malgré que les Deruiquina cherchèrent à ce que Oksana restent en
Ukraine, elle accepta un poste d'entraîneur à Moscou, cela fut vu comme une
"trahison.
Là, elle se maria
avec son petit ami Dimitri Svatkosvsky, un des athlètes de l'équipe de
pentathlon qui remporta l'argent en 92, et eu une fille,
Dasha.
Quelques années plus tard, elle divorça de
Dimitri
Aujourd'hui,
Oksana entraîne toujours en Russie, elle continue de croire que les résultats
des JO étaient corrompus.
Elle aime son
travail en gymnastique, et veut par son propre engagement, choisir sa carrière
avant sa famille.
Toujours une étude
en contradiction, Oksana explique son travail et elle-même mieux quand elle
comprit "je suis une personne avec un caractère compliqué".
Il en reste qu'elle était
particulièrement gracieuse au ruban et les tournoiements du ruban étaient
étonnamment différents avec elle, et plus généralement ses progrès rapide, son
caractére spécifique avec un mélange de sensibilité et d'humeur contribuèrent
a créer une gymnast à la fois très moderne et intéressante, toujours
innovante, avec de grand risque contenu dans ses
exercices.
L'expression était aussi bien mise en
valeur dans ses enchaînements.