Diana Popova
n'a jamais semblait en vouloir à son second rôle. Comme la joueuse secondaire
pour Maria Petrova, Diana c'est doucement construit une réputation d'athlète
propre, constante et de haut niveaux qui a choisi de démontrée a la fois le
style et la substance de ses exercices.
Née a Plovdiv le
12 octobre 1979, Diana, comme tout les autres grand de la Bulgarie, commença a
s'entraînée a un jeune âge. Son comportement calme fit d'elle la favorite de
son entraîneuse qui cultiva son élégance et son sens de la
musicalité.
Diana arriva pour
finir première aux JO de 1992. Malgré deux lâchés aux massues, la belle brune
finie 7eme au général.
Deux mois plus tard, elle
monta d'un cran au Championnat du Monde a Bruxelles, ou elle pris aussi le
bronze aux massues.
Mais en 1993, à 17
ans, elle surprit le monde de la gymnastique en se retirant, citant
l'épuisement.
En refusant le
métier de mannequin qui lui avait était offert, Diana retourna à la
compétition en 1994 et prouva qu'elle était toujours aussi forte avec sa 8eme
place au Championnat du Monde. Elle finit 7eme en 1995, et prit 5 médailles
(incluant le bronze au général) au Jeux Universitaire Mondiaux cette même
année.
1996 fut aussi une année a succès, en
incluant des médailles au Championnat du monde et a plusieurs autres grands
prix. Mais aux Olympique, une paire de petites fautes dans les demis finales
mirent Diana 11eme, lui ôtant ses chances de concourir une seconde final
Olympique.
Bien que si elle
n'a jamais comptée de titre international majeur, Diana gagna pour elle-même
une légion de fan dévouer.
Elle est plus connue pour son
incroyable chorégraphie dans son exercice aux massues sur Ravel's Boléro,
aussi bien que son intense enchaînement au ballon sur "Les 4 saisons" de
Vivaldi, lequel incluait son rattrapé caractéristique de l'engin entre le
ventre et les jambes.
Après s'être
retirée en 1996, Diana se maria avec le fils de la fameuse entraîneuse bulgare
Julietta Shishmanova.
Diana a depuis déménagée en
Italie, ou elle a acceptée d'entraînée l'équipe national.
Beaucoup ont
prétendu que Diana n'avait pas reçu son dû par la fédération Bulgare, qui a
plutôt favorisée la carrière de sa coéquipière et meilleur amie
Pétrova.
Mais Diana
elle-même n'a jamais supporté cette opinion.
Elle restera l'une
des gymnastes les plus affectueuse, l'extraordinaire athlète qui montra la
même grâce dans et en dehors des
compétions.